Le paysage des flux nord-sud de financement du développement a considérablement changé. La cohabitation relativement étanche qui prévalait entre d’une part les financements privés et de marché (investissements, prêts commerciaux et instruments de marché) et d’autre part l’aide publique au développement (fondée sur des subventions et des prêts concessionnels aux gouvernements) est de moins en moins d’actualité.